Notre village est situé dans la Région ITASY à moins d'une heure de La Capitale Antananarivo.
On peut y venir par la Nationale 1, on prend la bifurcation vers le SUD à la sortie de Mangatany. Vous prenez une piste rouge de 5 kilomètres environ.
Présentation de La Région ITASY
Tranonkalan'ny Ministeran'ny Kolontsaina sy ny Asatanana
RATAFIKA ANDRIANARIVO R. Mahery Directeur Régional de la Culture et du Patrimoine Itasy
De par sa superficie la Région Itasy est la plus petite des 22 Régions qui composent Madagascar.
Elle s’étend sur une superficie de 6 727 km carrée pour une population de 2 703 252 habitants inégalement répartie sur les trois districts qui composent la Région :
Arivonimamo,Miarinarivo et Soavinandriana, soit une densité de 104,5 habitants/ km2.
Environ 88% de la population de la Région vivent de l’agriculture dans des contextes fortement contrastés. Les systèmes de production sont donc extrêmement diversifiés parce qu’ils sont contraints soit par des densités de population très élevées(zones où prédominent les sols alluviaux et volcaniques), soit par des sols de faible qualité(Centre et Ouest). L’élevage bovin extensif prédomine également dans le Centre, l’Est et l’extrême Ouest de la Région. Les élevages laitiers et à cycle court (porcin, aviculture)sont concentrés à la périphérie des villes (Analavory, Miarinarivo) et à Arivonimamo.
La pêche, dans la zone des lacs constitue une activité économique de la région. Le potentiel forestier (forêt de tapia) favorise également le développement de la sériciculture qui constitue un savoir faire local (et la renommée de la Région). Ces faits sont à remarquer car les modes de production économique (agriculture et élevage) riment souvent avec tradition et culture…
Située à peine à une centaine de km d’Antananarivo, la Région de l’Itasy souffre bon gré mal gré de cette proximité. Pourtant la Région regorge d’un atout considérable tant sur le plan économique, social et culturel. Mais comme on dit en malgache:<<izayakaikyvilanyfenoharina>>on l’oublie à tort ou à raison pour différentes raisons. Presque toutes les mérites de la Région reviennent aux Régions avoisinantes .
Sur un autre plan, il est aussi utile de faire remarquer que la Région possède également des sites fossilifères où avaient évolué les grands animaux préhistoriques peu avant l’apparition et/ou l’arrivée des hommes à Madagascar. Les traditions orales en ont gardé le souvenir. Les fossiles des dinosaures et autres gardés au parc botanique et zoologique de Tsimbazaza ainsi que les écrits des chercheurs étrangers et nationaux le prouvent également. La région est méconnue et mérite d'être découverte plus en profondeur.
Nos Objectifs
RATAFIKA ANDRIANARIVO R. Mahery Directeur Régional de la Culture et du Patrimoine Itasy
De par sa superficie la Région Itasy est la plus petite des 22 Régions qui composent Madagascar.
Elle s’étend sur une superficie de 6 727 km carrée pour une population de 2 703 252 habitants inégalement répartie sur les trois districts qui composent la Région :
Arivonimamo,Miarinarivo et Soavinandriana, soit une densité de 104,5 habitants/ km2.
Environ 88% de la population de la Région vivent de l’agriculture dans des contextes fortement contrastés. Les systèmes de production sont donc extrêmement diversifiés parce qu’ils sont contraints soit par des densités de population très élevées(zones où prédominent les sols alluviaux et volcaniques), soit par des sols de faible qualité(Centre et Ouest). L’élevage bovin extensif prédomine également dans le Centre, l’Est et l’extrême Ouest de la Région. Les élevages laitiers et à cycle court (porcin, aviculture)sont concentrés à la périphérie des villes (Analavory, Miarinarivo) et à Arivonimamo.
La pêche, dans la zone des lacs constitue une activité économique de la région. Le potentiel forestier (forêt de tapia) favorise également le développement de la sériciculture qui constitue un savoir faire local (et la renommée de la Région). Ces faits sont à remarquer car les modes de production économique (agriculture et élevage) riment souvent avec tradition et culture…
Située à peine à une centaine de km d’Antananarivo, la Région de l’Itasy souffre bon gré mal gré de cette proximité. Pourtant la Région regorge d’un atout considérable tant sur le plan économique, social et culturel. Mais comme on dit en malgache:<<izayakaikyvilanyfenoharina>>on l’oublie à tort ou à raison pour différentes raisons. Presque toutes les mérites de la Région reviennent aux Régions avoisinantes .
Sur un autre plan, il est aussi utile de faire remarquer que la Région possède également des sites fossilifères où avaient évolué les grands animaux préhistoriques peu avant l’apparition et/ou l’arrivée des hommes à Madagascar. Les traditions orales en ont gardé le souvenir. Les fossiles des dinosaures et autres gardés au parc botanique et zoologique de Tsimbazaza ainsi que les écrits des chercheurs étrangers et nationaux le prouvent également. La région est méconnue et mérite d'être découverte plus en profondeur.
Nos Objectifs
Nous souhaitons vous faire connaître et découvrir la Région Itasy, son Histoire, sa population, sa culture. A cet effet, le structures de promotion de la Région Itasy s’efforceront de documenter de manière exhaustive : sur les patrimoines culturels immatériels et matériels de la région.
La Région Itasy : une région riche en patrimoine culturel immatériel et matériel Historique
Si on se réfère aux traditions orales et si l’on prend en compte les dires des détenteurs de ces dernières, le nom de la région "Itasy" est inadéquat. Cette appellation vient du nom du grand Lac Itasy et ne correspond pas à l’ensemble de la Région.
La Région Itasy : une région riche en patrimoine culturel immatériel et matériel Historique
Si on se réfère aux traditions orales et si l’on prend en compte les dires des détenteurs de ces dernières, le nom de la région "Itasy" est inadéquat. Cette appellation vient du nom du grand Lac Itasy et ne correspond pas à l’ensemble de la Région.
Sans entrer dans les polémiques, les détenteurs des traditions, surtout du côté oriental de la région, auraient préféré appelé leur région : "Imamo".Ce nom vient du mot "Imamono".
D'autres anciens relatent que cette appellation provient également d'un autre fait historique. A une certaine époque pas si lointaine avant les missionnarisations, des Imans commerçants venant du lointain Yemmen se seraient perdus dnas la région et auraient pris pour épouses des autochtones. D'ou l'apport de certains savoirs faire en matière de négoce. Certains faciès au teint clair et aux traits aiguisés pourraient témoigner de l'intégration et assimilation de ces groupes.Ils ont laissé pour héritage une certaine appétence de la population pour les kabary et les hainteny. Tout le patrimoine autour des "oracles", les "mpanandro".
Carte de situation géographique de la RégionItasy (photo réalisée par RatafikaAndrianarivo)
La Région de l’Itasy se compose donc de deux régions : l’Imamo occidentale et l’Imamo orientale.
Les plus célèbres rois ayant régné respectivement dans leur région étaient contemporains d’Andrianampoinimerina .
Les plus célèbres rois ayant régné respectivement dans leur région étaient contemporains d’Andrianampoinimerina .
Andriambahoaka et ses descendants régnaient (entre autre Andriamary ) dans l’Imamo occidentale. Ce dernier aurait conclu un accord avec Andrianampoinimerina et, ses descendants gardaient leur titre de noblesse. Ils sont considérés comme "Andriana" et appartiennent au clan des Zazamarolahy, mais avec l’additif "amin’Andriamary"…
Le souverain de l’Imamo orientale Andriampoetsakarivo, par contre, a résisté au Roi Andrianampoinimerina et a été tué à Tampoketsa . Alors qu’il a laissé beaucoup d’enfants, ses descendants ont "disparu". Une autre version (ou complément d’information) parlait de l’existence d’un autre roi appelé Andriamarobasy, contemporain d’Andrianampoinimerina également, et qui aurait accepté la suzeraineté de ce dernier. Il résidait à Ambohitsitompoina ,appelé actuellement Ambohimanompo… Son tombeau se trouve au sommet de la colline d’Ambohitsitompoina, qui abrite également une grotte…
Ses descendants résident dans le village de Manakasina.
Le portail du village de Manakasina est toujours en place, près d'Ampahimanga.
Plusieurs villages portent ce nom dans le secteur d'Arivonimamo.
Miarinarivo – Capitale administrative de la RégionItasy (photo réalisée par RatafikaAndrianarivo)
Vie quotidienne de la population de l’Imamo orientale
Les produits des cultures sont vendus au bord de la route nationale pour subvenir au besoin de la famille.
Les produits des cultures sont vendus au bord de la route nationale pour subvenir au besoin de la famille.
Scènes de vie actuelle (photo réalisée par RatafikaAndrianarivo)
Le sens de la responsabilité de la vie familiale s’apprend dès leur jeune âge.
Scènes de vie actuelle (photo réalisée par RatafikaAndrianarivo)
Ainsi qu’à s’occuper des bœufs, animaux d’élevage par excellence des malgaches.
Scènes de vie actuelle (photo réalisée par RatafikaAndrianarivo)
Vie culturelle
La culture est un des éléments de l’identification de la population d’un pays. Dans la Région de l’Itasy elle a été préservée plus ou moins par les générations actuelles selon le mode d’éducation des parents et l’environnement auxquels les jeunes sont soumis bon gré mal gré.
40è anniversaire de la commune urbaine Miarinarivo (photo réalisée par RatafikaAndrianarivo)
Vie artistique
L’art fait vivre son maître dit-on. Dans la Région de l’Itasy, les artisans sont nombreux. Il touche de nombreux domaines. Des corps de métiers se forment ici et là. Pas loin de Miarinarivo, les tailleurs de pierre se sont groupés en association pour préserver leur savoir-faire. A Arivonimamo II, les tisserands ont formé des coopératives.
L’art fait vivre son maître dit-on. Dans la Région de l’Itasy, les artisans sont nombreux. Il touche de nombreux domaines. Des corps de métiers se forment ici et là. Pas loin de Miarinarivo, les tailleurs de pierre se sont groupés en association pour préserver leur savoir-faire. A Arivonimamo II, les tisserands ont formé des coopératives.
La taillerie de pierre se transmet de père en fils. Ce qui explique le fait qu’en passant sur cette route nationale plus très loin de Miarinarivo, on a l’impression que toute la population des environs immédiats s’y sont donnés rendez-vous pour tailler la pierre.
Artisan au travail (photo réalisée par RatafikaAndrianarivo)
Pierres taillées (photo réalisée par RatafikaAndrianarivo
Pendant que les hommes s’occupent à tailler la pierre, la femme et les enfants s’occupent de la vente.
Un semblant de la division du travail au sein de la famille s’y remarque.
Un adage célèbre dit que : "Tapia tsy miakatra an’Imerina". Cette portion de forêt de Tapia semble prouver cette affirmation. C’est de cette forêt que les artisans tisserand tirent les matières premières qui vont servir à fabriquer les lambalandy de l’Itasy. La sériciculture a pris une place très importante et, a fait la renommée de la Région.
Un adage célèbre dit que : "Tapia tsy miakatra an’Imerina". Cette portion de forêt de Tapia semble prouver cette affirmation. C’est de cette forêt que les artisans tisserand tirent les matières premières qui vont servir à fabriquer les lambalandy de l’Itasy. La sériciculture a pris une place très importante et, a fait la renommée de la Région.
Forêts de tapis à Arivonimamo (photo réalisée par RatafikaAndrianarivo)
Métier à tisser (photo réalisée par RatafikaAndrianarivo)
Ce métier à tisser a été fabriqué à la main. Sa technique de fabrication respecte les traditions ancestrales. Il est exposé ici devant un stand artisanal pour montrer aux visiteurs que la Région de l’Itasy garde toujours son savoir-faire traditionnel malgré la prolifération des tissus importés.
La soie de l’Itasy (photo réalisée par RatafikaAndrianarivo)
Les lamba landy sont célèbres. Ils rivalisent de beauté et de qualité avec les tissus d’origine étrangère.
Les patrimoines
Le patrimoine culturel matériel (PCM) et le patrimoine culturel immatériel (PCI)contribuent dans une large mesure à l’identification régionale de l’Itasy. La préservation des formes architecturales et ses modes de construction bien qu’ayant subi l’influence du modernisme reflètent encore la préservation, la conservation des traditions aussi bien dans le patrimoine matériel qu’immatériel.
Les patrimoines matériels
La forme architecturale des habitats comme le montrent les photos révèle une certaine différenciation dans les modes et les formes de construction des maisons. Si les populations habitant en bordure de la route nationale préfèrent utiliser les briques cuites en général, d’autres par contre utilisent encore comme matériau de construction, les argiles bleues pétries comme lors des constructions des << tamboho >>, techniques dite de "pisé" que l'on retrouve au Moyen-orient, héritage de ces immigrants imans...?
La forme architecturale des habitats comme le montrent les photos révèle une certaine différenciation dans les modes et les formes de construction des maisons. Si les populations habitant en bordure de la route nationale préfèrent utiliser les briques cuites en général, d’autres par contre utilisent encore comme matériau de construction, les argiles bleues pétries comme lors des constructions des << tamboho >>, techniques dite de "pisé" que l'on retrouve au Moyen-orient, héritage de ces immigrants imans...?
Construction d’une maison traditionnelle aux environs d’Analavory
Cette maison en construction est faite d’argile pétrie dite en "pisé".. Son architecture respecte l’architecture ancestrale.
Village à l’entrée d’Analavory
Les patrimoines immatériels
Le savoir-faire des populations de la région se reflète dans leur vie quotidienne si l’on prend le temps de les observer un moment dans leurs occupations. Ce patrimoine culturel matériel (PCM)est également mis en exergue dans les fêtes populaires (Hira gasy , Kabary , Hain-teny …)
Le savoir-faire des populations de la région se reflète dans leur vie quotidienne si l’on prend le temps de les observer un moment dans leurs occupations. Ce patrimoine culturel matériel (PCM)est également mis en exergue dans les fêtes populaires (Hira gasy , Kabary , Hain-teny …)
Ces danseurs miment un aspect de la vie quotidienne des malgaches. L’état d’âme du malgache se reflète parfois dans ces danses. Ce qui nous aide à comprendre une partie du caractère du malgache.
Les Sites Les sites historiques
Les sites historiques sont nombreux dans la région. Nommons « Manazary » au sud-est de la commune urbaine de Miarinarivo, Ambohitrimanjaka à Soavinandriana-Itasy , le tombeau d’un noble d’Analavory qui a interdit aux habitants des environs du Geyser de ne pas cultiver du haricot, de ne pas élever des moutons et de ne pas les consommer également …
Un noble du village d’Ambohitrimanjaka à Soavinandriana a été enseveli sous ce tombeau Pour parvenir à ce site funéraire, il faut gravir la colline et franchir sept fossés (hadivory) qui ont servi à dérouter les envahisseurs potentiels à l’époque des royaumes.
Les sites historiques sont nombreux dans la région. Nommons « Manazary » au sud-est de la commune urbaine de Miarinarivo, Ambohitrimanjaka à Soavinandriana-Itasy , le tombeau d’un noble d’Analavory qui a interdit aux habitants des environs du Geyser de ne pas cultiver du haricot, de ne pas élever des moutons et de ne pas les consommer également …
Un noble du village d’Ambohitrimanjaka à Soavinandriana a été enseveli sous ce tombeau Pour parvenir à ce site funéraire, il faut gravir la colline et franchir sept fossés (hadivory) qui ont servi à dérouter les envahisseurs potentiels à l’époque des royaumes.
Pierre levée à l’entrée d’un tombeau d’un noble de l’Itasy
Selon la légende, le roi enseveli au sommet de cette colline a interdit aux natifs de cette région de ne pas cultiver des haricots, ni élever des moutons, sinon les grêles vont s’abattrent sur leurs cultures.
Tombeau d’un roi aux environs d’Analavory
Les sites pittoresques
Le mot Itasy vient de l’expression tasy anaka, ce qui signifie : << les descendants qui se sont éparpillés>>.
Le vrai nom du lac est selon les traditions orales : « Kavitaha ». Ce mot date dit-on de l’époque des Vazimba. Sa signification provient d'une explosion volcanique, il y a quelques siècles. Les laves et les gaz toxiques dégagés par le cratère auraient exterminés une grande partie des villageois. Ils reposent au fond du cratère du lac KAVITAHA, d'où son nom "ny kavy mataha ny razana" qui a donc été raccourci. Depuis ce temps, il est toujours interdit "fady" de se baigner, d'uriner, de se laver dans cet endroit de la rivière. Aujourd'hui, des opérators économiques y ont installé des pédalos...et peu-être, leurs eaux usées. Les croyances locales veulent qu'à chaque week end pascal, les ancêtres réclament toujours au moins un villageois pour honorer leurs souvenirs. Et effectivement, nous avons observé qu'à chaque fois, une personne se noye à cette époque.
Les environs de ce lac abrite aussi selon les dires des chercheurs malgaches et étrangers des sites fossilifères aussi importants que ceux de l’Ankaratra et du Sud Ouest de Madagascar.
Le lac Itasy vu du sommet de la colline d’Ambohitrimanjaka -Soavinandriana
Au centre du lac Itasy ou Kavitaha se trouve l’îlot de la vierge. C’était là que le roi merina Andrianampoinimerina et un roi sakalava ont fait le pacte de ne plus se battre. Jadis les incursions sakalava dans cette région étaient nombreuses à l’époque des royaumes.
Comme partout dans le monde entier, les missonnaires chrrétiens ont installé sur un lieu sacré indigène un monument ostentatoire à la gloire de leur religion.
L’ îlot de la Vierge – centre de Madagascar
Le versant de cette montagne volcanique a été labouré par les paysans habitant les environs immédiats. Rien qu’à le voir le travail a dû être pénible. Le résultat est que plus d’un, reste pétrifié d’admiration un moment, en la regardant.
Montagne volcanique cultivée
Cette source d’eau thermale jaillissant des profondeurs de la terre attire beaucoup de visiteurs. Elle est devenue un lieu de cure thérapeutique.
Le Geyser Analavory
Les sites insolites
La Région de l’ Itasy regorge de sites insolites. A titre d’information citons « Ampasamanatongotra » à un peu plus d’une dizaine de kilomètres vers Analavory , ou le « monstre » du Geyser d’ Analavory qui attirent aussi bien les nationaux que les étrangers.
La Région de l’ Itasy regorge de sites insolites. A titre d’information citons « Ampasamanatongotra » à un peu plus d’une dizaine de kilomètres vers Analavory , ou le « monstre » du Geyser d’ Analavory qui attirent aussi bien les nationaux que les étrangers.
D’une manière générale, la présence de ces sites influent culturellement les populations locales et avoisinantes.
Les traditions orales rapportent que deux frères sont ensevelis dans ces deux tombeaux. Le premier était riche dans sa vie terrestre. Il a fait construire un tombeau correspondant aux us et coutumes des habitants de la région
Le second par contre était pauvre, mais il a eu huit garçons. Il a donc fait placer son tombeau sur un piédestal composé de huit pierres levées. Ce qui le singularise des autres tombeaux avoisinants. Depuis bon nombre de malgaches viennent demander bénédictions sur ce lieu pour demander aux ancêtres d’avoir des descendants.
Le second par contre était pauvre, mais il a eu huit garçons. Il a donc fait placer son tombeau sur un piédestal composé de huit pierres levées. Ce qui le singularise des autres tombeaux avoisinants. Depuis bon nombre de malgaches viennent demander bénédictions sur ce lieu pour demander aux ancêtres d’avoir des descendants.
Ampasamanatongotra
De par sa formation volcanique et par les effets des eaux, les roches ont été « taillées » singulièrement.
Les visiteurs ont alors affublé la formation rocheuse du nom de « monstre »
Les visiteurs ont alors affublé la formation rocheuse du nom de « monstre »
Le << monstre >> du Geyser
Texte originel de
© RATAFIKA ANDRIANARIVO R. Mahery Directeur Régional de la Culture et du Patrimoine Itasy
Tranonkalan'ny Ministeran'ny Kolontsaina sy ny Asatanana
(+ quelques modifications et compléments d'informations mineures)
(+ quelques modifications et compléments d'informations mineures)